31 messages d’absence originaux pour vos congés

Certains collaborateurs ou dirigeants prennent toutefois plaisir à rendre l’exercice un brin original, voire carrément drôle, mêlant blagues potaches, citations connues voire ironie pour faire passer le message… Histoire de bien préparer sa déconnexion ! Voici un florilège de plus d’une trentaine de messages automatiques d’absences pour vous inspirer avant de partir, utilisables à tout moment de l’année ! On ne s’en lasse pas…

• Je ne suis pas au bureau jusqu’à la semaine prochaine. Rassurez-vous, j’ai accès à Internet et à mon téléphone mais je ne compte pas m’en servir pour le travail.

• Je reviens au bureau demain, et j’effacerai tous les mails que j’ai reçu en mon absence.
• Je ne suis pas au bureau. J’ai un portable mais je ne vous donnerai pas le numéro. Si vous arrivez à le deviner, alors je vous répondrai.
• Je ne suis pas là du … à … et pas d’accès à mes mails. Si c’est urgent, composez le 18.

• Je suis en vacances, vous pouvez m’adresser un mail, mais UN SEUL. Au-delà de cette limite, j’effacerai au hasard et sans les lire les messages pour n’en garder qu’un. Choisissez avec soin. Pour info, vous avez déjà envoyé un message.
• Je suis en congés pour deux semaines, et à mon retour, j’aurai plein de boulot à rattraper.
• Au moins pour une semaine encore. En plus, je ne serai pas forcément hyper-efficace étant donné que je passerai mes journées à raconter mes vacances. Je serais vous, je laisserais tomber.
• Je suis en vacances, sans ordinateur, sans téléphone, et sans la moindre décence.

• Je suis au bureau, mais j’ai découvert que ce système de réponse automatique a considérablement réduit ma charge de travail.
• Email Error 408 – The recipient is not around… until 24th of July.
• Bonjour, je suis actuellement en congés du xx/xx au xx/xx. Pour les urgences, merci de vous adresser au 3e transat sur la droite, parasol jaune et bikini rayé. Permanence de 10h à 18h (risque d’absence pour cause de baignade).

• Je suis actuellement indisponible. Pour toute question urgente ou importante, contactez l’un de mes supérieurs hiérarchiques, Mme xx / M. xx. Si votre question n’est ni urgente ni importante, demandez-vous pourquoi vous m’envoyez un e-mail.
• Quoi ? Vous êtes encore là ? Vous n’allez tout de même pas rester planté devant votre ordi tout l’été ! Allez ouste, partez en vacances, et on se parlera à mon retour le xx/xx.

• A méditer : « Il n’y a rien d’urgent, il n’y a que des gens pressés » (Anonyme) PS : si vous n’avez pas compris le message, je reformule : JE SUIS EN VACANCES ! »
• « La vacance des grandes valeurs n’enlève rien à la valeur des grandes vacances. » Henri Weber.

• Bonjour, je suis parti me faire dorer la pilule jusqu’au xx/xx . Comme ce message va sacrément vous agacer, vous qui blanchissez au bureau, je vous envoie de quoi me faire pardonner : une playlist spéciale Soleil. De rien !

• « Thank you for your email. Your credit card has been charged €5.99 for the first ten words and €1.99 for each additional word in your message ». (Notre préféré !). Traduction : « Merci pour votre email. Votre carte de crédit a été facturée 5,99 € pour les dix premiers mots et sera facturée 1,99 € pour chaque mot supplémentaire dans votre message ».

Traduction : « Désolé si mon message automatique vous a donné de faux espoirs sur ma réponse rapide et enthousiaste ».

• Je ne suis actuellement pas au bureau, et vraisemblablement ivre mort quelque part dehors.

Traduction : « Bonjour, je suis actuellement au Costa Rica. Ma boite de réception ne m’accompagne pas pour ce voyage, alors je répondrai à votre message dès que je reviendrai le mercredi 17 décembre. En cas de problème urgent, merci de contacter marketing@yesware.com. Si ce n’est pas urgent, amusez-vous avec deux bébés paresseux en pyjamas. Merci et bonnes vacances ! »

Traduction ci-dessus : pendant que vous répondrez probablement à vos emails, je serai en train de revivre les expériences d’enfants qui ont forgé ma personnalité comme déblayer la neige de la route deux à trois fois par jour (sur la photo, c’est moi à Kitimat en 1989). Si vous ne pouvez pas attendre mon retour, soyez au moins désolé pour moi. Je répondrai vos emails le 28 ou alors je les jetterai. Amitié. Stevan.